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No pain, no gain (Pas de succès sans souffrances)

La plupart d’entre nous possède de grands idéaux universels. Et il n’est pas question de les laisser tomber. Gardez vos besoins et les aspirations qui vous sont propres. Cela vous aidera à trouver votre voie, à surmonter les obstacles qui se présenteront face à vous.

Etes-vous dans cette croyance que dans la vie “on n’a rien sans rien” ?

Le grand psychologue Abraham Maslow lui-même plaçait le bonheur et l’épanouissement de sa descendance au-dessus de la fameuse “réalisation de soi”. Il appelait cela son “autotranscendance“.

Il en va de même pour moi. Mais pas seulement. Car si je considère que ma descendance est importante, il ne s’agit bien évidemment pas que de nos enfants. Il s’agit essentiellement des croyances que nous leur passons, voire leur imposons, en toute “bonne conscience“, et “avec tout notre amour“. Évidemment. Ces croyances nous les avons nous-mêmes déjà reçues. De nos parents, ou de nos éducateurs. L’une d’elles est que notre vie se “gagne”. Et dans la douleur de préférence.

Je ne crois pas que la vie se “gagne“. Je crois plutôt qu’elle se reçoit. Et je ne parle pas seulement de notre naissance. Je parle plutôt de notre “mise au monde“. Ce qui n’est pas la même chose. La différence ? Vous ne naissez qu’une fois pour cette vie-là que vous tentez de vivre, en général du mieux possible, en faisant de gros efforts pour plaire au monde et lui rendre ce que vous pensez lui devoir.

Je parle de cette idée que votre ” mise au monde ” quotidienne, ce qui, en vous, vous pousse à croire que souffrir est logique. Que cette souffrance est un chemin normatif vers votre récompense, quelle qu’elle soit, l’argent, l’amour, le succès, la réussite et la renommée, ou plus noblement la paix, la joie. Et, bien sûr, cette fameuse reconnaissance de vos pairs. Même s’il ne s’agit que de votre tante Adélaïde dont, en principe, vous n’avez rien à faire.

Ce paradigme est aujourd’hui interrogé par nombre de nos philosophes (Frédéric Lenoir, Denis Marquet…), quelques penseurs (Eckart Tollé). Des personnalités entrepreneuriales émergentes tel Olivier Rolland, l’auteur de «Tout le monde n’a pas eu la chance de rater ses études», privilégie d’avoir une entreprise au service de sa vie plutôt que l’inverse.

La souffrance n’est utile que pour nous réveiller. C’est un éveilleur de Conscience qui nous interroge sur ce que nous souhaitons faire avec notre vie. Et bien plus profondément ce que nous choisissons d’être dans cette existence qui, rappelons-le, est censée nous appartenir.

Souffrez si vous voulez, mais intelligemment !

En vous posant les bonnes questions, en ne vous noyant pas dans toutes sortes de fuites, en n’accusant personne. Vous ferez alors de passionnantes découvertes. À commencer par vous, enfin. Apprenez à vous connaître vraiment, à partir du coeur. Revenez au centre de la partie la plus élevée de vous-même.

Et voyez comme vous êtes beau.

Je veux etre porteur de réussites

Sortir de sa zone de confort demande du courage. Le mot “courage” a pour racine le mot “coeur“. Ce chemin a-t-il un coeur ? Pourquoi concrétiser ce projet plutôt qu’un autre ? Quelle est mon intention ? Qu’est-ce que je désire apporter à la communauté ?
Votre état d’esprit est primordial. Savoir vous entourer aussi. Choisissez des gens positifs, remplis de l’énergie nécessaire à ce projet. Laissez de côté les caractères ombrageux, susceptibles, même si leur cv annonce mille pages de belles références.
Soyez créatifs – ou sachez vous entourer de personnes qui ont cette compétence -. Et laissez mûrir. Allez faire une petite sieste. Ce n’est pas de la paresse, c’est la sage possibilité de faire baisser vos résistances à la fluidité de la Vie !
Enfin, soyez bienveillant avec vous-même. Peut-être avez-vous souvent échoué  au cours de votre vie. C’est une bonne expérience, elle signifie que vous êtes sur la bonne voie.
Les bonnes choses sont comme le bon vin. Nos semences ont besoin de temps et aucun millésime ne s’est fait en un jour.
Le dernier ingrédient dont je parlerai s’appelle la confiance. Confiance en vous, en vos collaborateurs. Confiance dans la vie, simplement. Certains l’appelle foi ou espérance. D’autres l’appelle CLAIRE VISION.
Je vous souhaite, en tout cas, le meilleur.

Pratiquer une éthique de caractère

Il existe des principes de base pour une vie fructueuse. Votre vie sera plus belle si vous savez les intégrer à votre quotidien et, surtout, à votre caractère.

Peu après la seconde guerre mondiale, le critère des fondements de la réussite basculèrent de l’Ethique de caractère à ce que nous appellerons l’Ethique de la personnalité. Comme son nom l’indique, l’Ethique de la personnalité met l’accent sur la « personne » en tant que représentation plutôt que sur l’essentiel de ses valeurs. Le mot « personne » vient en effet du latin « persona », le masque. Il suggère l’idée d’interactions éventuellement manipulatrices puisqu’il s’agit d’arriver à vos fins. Tactiques de communication et attitudes positives aux motifs plus ou moins dissimulés.

Le danger de cette Ethique est qu’elle peut créer en vous une « image formidable » de ce que vous souhaitez devenir, image que vous tenterez éventuellement d’imposer aux autres. Les comparaisons sociales mènent à un amour « sous conditions » qui peut inciter votre entourage à sous-estimer sa propre valeur. Et quand je parle d’entourage, je parle de votre partenaire, de vos ami(e)s, et même de vos enfants. Vous savez tout au fond de vous que ces « valeurs sociales » donnent lieu à d’inutiles comparaisons. Mais, plus gravement, elles induisent chez l’autre un manque d’estime.
Le plus intéressant est, en réalité, de concentrer vos efforts sur vous-même – non pas sur de pseudo techniques de mise en valeur – ainsi que sur vos intentions profondes et vos perceptions.
Ce qui vous amènera – double bénéfice – à cesser de vouloir changer l’autre et à prendre la distance nécessaire vous permettant de saisir son identité, son individualité et sa richesse.
Vous pourrez enfin voir ce qu’il a d’unique, observer son potentiel et le laisser suivre son propre rythme de croissance.
Prenez les choses avec sérénité.
Soutenez-le.
Laissez-le s’épanouir.
Surtout, travaillez sur vos motivations, cultivez vos propres ressources, trouvez la stabilité nécessaire. Le sentiment de votre valeur personnelle ne dépendra plus des autres. Leur comportement – celui de vos enfants notamment – ne vous définiront plus.
Viendra le temps de l’appréciation qui mettra fin à la comparaison et aux jugements. Vous ne tenterez plus d’entrer dans un « moule social » et laisserez les autres tranquilles. Ne les protégez pas non plus : apprenez-leur plutôt à ne plus avoir besoin de vous pour trouver leur identité et leur place. Vous aurez alors l’occasion de constater qu’en même temps que vous savez qui vous êtes, vous trouvez votre propre espace et l’autre la sienne. Votre famille, vos ami(e)s, vous en remercierons. Vos salariés aussi si vous êtes Chef d’Entreprise.
Car c’est bien là que se joue toute la différence entre l’Ethique de personnalité et l’Ethique de caractère pour la réussite et le bien-être : vous devrez sonder votre cœur en profondeur afin d’y (re)trouver ce qui est juste.
Et vous saurez comment faire.